Une nouvelle direction entre expérience, rêve et confiance

Didier Spanagel, notre nouveau directeur, est arrivé en juillet 2019, fort de son expérience de 35 ans. Cet expert du premier au second œuvre, qui a commencé comme conducteur de travaux, a appris à connaître chacun des métiers de la construction. Il a également vu la maison individuelle sous tous ses états, sur différentes terres de France, et s’y est consacré avec l’envie de réaliser le rêve de chaque client. A l’écoute de chacun, il est aussi exigeant, avec lui comme avec ses collaborateurs et ses partenaires. Il nous fait aujourd’hui profiter de son expérience, de son savoir-faire, de ses valeurs, et a ainsi engagé une nouvelle dynamique au sein de Maisons Vesta, dont nos clients sont les plus grands bénéficiaires.
Nous vous présentons aujourd’hui ce compétiteur dans l’âme, qui n’en est pas moins père de deux enfants, et compte trois petits-enfants.

Les propos sont recueillis par Tanguy Endenmann, rédacteur indépendant.

 

Tanguy Endenmann : Quel a été votre parcours ?

Didier Spanagel : J’ai débuté, il y a 35 ans, comme conducteur de travaux dans la région Champagne. Je suis passé ensuite en Lorraine où j’ai pris la responsabilité d’une équipe de travaux, puis de plusieurs, avant de devenir directeur technique, à Nancy, pour gérer trois entreprises sur la région.
Cela m’a permis de voir plusieurs process ou techniques de construction et de devenir expert dans le domaine de la construction, du premier au second œuvre. En d’autres termes, je sais par expérience ce qui fonctionne ou non.

T. E. : Puis, vous partez pour l’Alsace…

D. S. : Oui, pour y animer une équipe, toujours dans le domaine de la maison individuelle mais cette fois-ci pour des bailleurs sociaux. Ils voulaient des maisons en bande, qui ne demandent rien en entretien. Je suis ensuite descendu à Aix-en Provence, pour des constructions haut de gamme. De la grosse maison, pour des clients super exigeants, qui disposaient de gros moyens.
En parcourant ainsi la France, j’ai également travaillé sur différentes terres. Il faut savoir qu’en fonction du type de terre, les techniques de construction ne sont pas les mêmes : les types de dalle, de fondation, de matériaux ne sont pas les mêmes. Ce qui me donne aujourd’hui davantage de certitude sur les projets de nos clients à venir.  

T. E. : Et la terre lorraine vous rappelle…

 

D. S. : Mon épouse se languissait de mes enfants et petits-enfants. Nous avons vécu quelque temps, moi là-bas, elle ici. Et je suis remonté pour elle. Un partenaire m’a également appelé pour un poste de directeur d’exploitation chez Babeau Seguin, et me voici.
J’ai donc commencé il y a 35 ans en bas de l’échelle, et j’ai appris à connaître chacun des métiers de l’entreprise, jusqu’à maîtriser chacun d’entre eux et devenir responsable.

T. E. : Vous n’avez donc fait que de la maison individuelle ?

D. S. : Oui.

T. E. : Pourquoi ?

D. S. : Pour réaliser le rêve de quelqu’un. La maison, c’est le rêve de beaucoup de Français, c’est de l’affectif… Même si les choses ont changé avec le temps. Si le travail est bien fait, le client juge plus qu’avant. Mais, même si à la remise des clés, c’est moins festif qu’auparavant, il y a toujours ces yeux qui brillent… Et cela me fait plaisir de voir les gens émus. C’est une juste récompense pour le travail accompli !

T. E. : C’est ce qui vous guide au jour le jour ?

D. S. : il y a des valeurs aussi, que j’ai reçues avec mon éducation. Mon père me disait : « Ne fais pas aux autres, ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse ». Ce qui signifie le respect du client, ainsi que beaucoup d’exigence envers soi-même et les autres. Ça n’est pas évident, on oublie facilement les valeurs, il faut se battre.
Il y a aussi ce que j’ai appris au début de ma carrière : la rigueur, l’organisation. Quand vous avez 40 ou 100 maisons à construire, ça n’est pas la même chose. Il faut beaucoup de discipline et de savoir-faire, tout anticiper, bien préparer, ne jamais faire les choses au hasard, être maître de la situation, car nos clients ne sont pas des cobayes, ils ne sont pas là pour subir des tests.

Leur maison, c’est ce que nous leur devons, mais il faut le faire avec l’art et la manière. C’est ainsi que la confiance se mérite, se gagne.

T. E. : Jusqu’où poussez-vous votre relation client ?

D. S. : Le client est roi, il est au centre de tout, donc je peux lui répondre directement. Quand je suis arrivé, il a fallu refaire mes cartes de visite. On m’a demandé si je voulais voir mon numéro de portable y apparaître. Oui, car je ne fuis pas mes responsabilités, je ne veux pas repousser les choses, et je souhaite rétablir la situation au besoin. Cela est déjà arrivé.

T. E. : Nous avons parlé de vous, de vos clients, mais qu’en est-il de vos collaborateurs ? Que pouvez-vous leur apporter ?

D. S. : Une entreprise, c’est une grande famille, et je suis là pour les aider, en leur transmettant ce que j’ai appris en 35 ans d’expérience, mon savoir-faire, mon savoir-être, mes valeurs. J’accorde aussi de l’importance dans le choix, la formation et le suivi, y compris chez nos partenaires qui interviennent au niveau de la construction et de la fourniture du produit. J’attends un minimum de savoir-être, de savoir-faire, et je suis aussi exigeant avec eux pour que notre prestation soit conforme à ce que nos clients attendent.

T. E. : Avez-vous fait évoluer également des process, des outils en interne ?

D. S. : Oui. Par exemple, il faut resserrer les liens entre nos agences. J’ai pris d’ailleurs l’habitude de me rendre tous les quinze jours dans notre agence de Yutz pour faire le point. Nous avons également des réunions lors des étapes clés des projets client, pour gagner en délai.
Il y a aussi notre logiciel métier qui nous permet d’être plus performant en terme de réponse client, sur le plan, le chiffrage. Nous redéveloppons en outre, le module commercial, un outil de pilotage pour mieux gérer nos actions envers le client, analyse les rendez-vous, la proposition, constater notre taux de réussite. Et puis, quand le client arrive chez nous, il est accueilli par les commerciaux mais aussi par le responsable commercial. C’est une nouvelle cohésion mise en place pour plus de performance.

T. E. : Les effets se font déjà ressentir ?

D. S. : Tout cela fait effectivement, effet boule de neige, et nos collaborateurs sentent le changement : leur travail est facilité, et ils sentent qu’ils sont plus performants. Et ce sont nos clients, qui en retirent le bénéfice.

T. E. : Finalement, à plus ou moins long terme, quelles sont vos ambitions pour Maisons Vesta ?

D. S. : Etre dans les meilleurs, faire plus de maisons, faire mieux. Je suis un compétiteur, un combattant, et je n’ai pas peur de travailler plus pour atteindre ces objectifs.
 

 

 

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